Face à la multitude de sources et d’informations à disposition, la veille juridique peut vite devenir très chronophage, notamment si elle est pratiquée « à l’ancienne » (via un système de sites marqués en favoris à consulter régulièrement). C’est pourquoi aujourd’hui, de nombreux outils (gratuits ou non) ont été développés pour permettre la mise en place d’une veille par thématique ou par source. On pense notamment aux :
- agrégateurs de flux (par exemple, Feedly),
- systèmes d’alerte par mot-clé, hashtag ou compte Twitter,
- abonnements aux newsletters des sources de votre choix,
- abonnements à des fils ou à des publications sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et LinkedIn).
Là encore, ces remontées d’informations plus ou moins automatisées et gratuites ont leurs limites. Outre le flux susceptible d’être trop important – et donc à nouveau chronophage –, leur exhaustivité n’est pas garantie, et l’information ne sera ni hiérarchisée, ni analysée au préalable.
Ces limites confirment la valeur ajoutée des solutions payantes qui s’articulent autour d’une veille mettant l’emphase sur l’aspect éditorial, et mêlent expertise juridique, analyse de l’information, concision et spécialisation de la thématique.